Des impôts partout!
Que l’on soit riche ou moins fortunés, nous sommes tous confrontés dans notre quotidien à des taxes et à de la fiscalité. Et ce n’est pas près de s’arrêter.
Pour avoir vécu plusieurs années dans plusieurs pays européens, américains et Africains, je dois reconnaitre qu’en France, nous sommes vraiment gâtés en matière de fiscalité. Petit florilège :
- impôt sur le revenu (IR);
- impôt sur les sociétés (IS) ou l’impôts sur les bénéfices ;
- impôt sur la Fortune Immobilière (IFI), précédemment l’impôt de solidarité sur la fortune (ISF);
- taxe sur la valeur ajoutée (TVA) de 20%, précédemment à 19,6%;
- taxe intérieure sur les produits pétroliers (TIPP), lorsque vous achetez de l’essence pour votre voiture ;
- contribution exceptionnelle sur les hauts revenus
- Prélèvements sociaux qui ont bondit de 15,2% à 17,2% en 2018
- cotisations sociales, cotisations patronales
- CFE
- taxe d’habitation
- taxe foncière
- Plus-values sur titres
- Plus-values immobilières
- Surtaxe de plus-values
- etc.
Toutes ces taxes, appelées “recettes” servent à financer les besoins de l’Etat, ce que l’on appelle les dépenses publiques.
La France se hisser dans le top-3 des pays développés ayant les plus des dépenses publiques (rapportés au produit intérieur brut (PIB).
L’impôt et toutes ces taxes permettent de collecter des ressources financières pour l’entretien du système actuel et celui d’orienter la politique économique de notre pays.
Focus de l'impôt sur le revenu
Pour comprendre pourquoi notre fiscalité est si forte, reprenons brièvement une étude récente, disponible sur https://www.economie.gouv.fr/fiscalite-et-depenses-publiques. On y apprend que les 2 plus grosses dépenses sont le paiement des pensions retraites, ainsi que l’assurance maladie.
Quels sont les contribuables qui financent les dépenses publiques?
Heureusement, l'Etat offre des possibilités
L’Etat permet d’utiliser tout ou partie du montant de ses impôts, ceci avec des conditions.
- le secteur immobilier pour maintenir l’un des principaux secteurs d’emplois, et aussi contrer le manque de logement
- le développement des entreprises et de certains territoires à développer
- Des incitations fiscales pour faire tourner l’épargne
- Des aides pour offrir du travail ou des associations par exemple (emploi à domicile, dons, etc.)
- etc.
La gestion de l’épargne reste un sujet important pour bon nombre d’entre nous.
Pour autant, beaucoup de solutions existantes en complément des habituels investissements locatifs et assurance vie, faire de lance des promoteurs immobiliers et autres assureurs.
Avec la baisse de rendement de fonds Euro de l’assurance vie, les prix appliqués dans l’immobilier neuf, qui poussent vers le haut les prix de l’ancien, et maintenant une inflation galopante qui est une réalité, des stratégies semblent inéluctables pour diversifier ses placements d’épargne tout en préparant l’avenir.
Car en définitive, ce qui ressort de l’étude, c’est un focus assez clair pour mettre de côté pour la retraite, même chez les jeunes. C’est peut-être pour cela, au-delà de l’épargne de précaution, que beaucoup épargnent et font des placements judicieux, à condition de savoir ce qui existe dans leur situation personnelle. Mais ceci est un autre sujet
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